Les types de communication

Plusieurs classifications sont possibles :

Classification 1 : le relationnel, l'affectif, l'actif et le conceptuel

Le rationnel
Le rationnel est typiquement une personne qui aime se référer à des données quantifiées, à une logique. Ces points vont conditionner son comportement à la fois dans son travail personnel, son organisation et bien sûr sa communication ; qu’il écoute ou qu’il s’exprime, ce sera la structure de son discours et de sa mémorisation. C’est à ce comportement qu’on peut le reconnaître. Son bureau est assez rangé, les objets sont alignés, et les outils rationnels (ordinateur, machine à calculer, agenda, etc.) sont en évidence et accessibles. La décoration est sobre, régulière et … efficace. Lorsque vous parlez avec lui, il va attendre des faits quantifiés (le mot « beaucoup » n’a pas grand sens pour lui), des phrases courtes « to the point », pas d’exubérance, bref sa vision de l’efficacité. La communication écrite est du même style. Il s’attachera plus à analyser le passé, qu’à se projeter dans l’avenir ; s’il le fait ce sera conservateur et relativement peu créatif. En réunion, il s’attend à ce que chacun respecte l’ordre du jour, qu’il y ait un compterendu des décisions, et que l’horaire soit respecté. Dans la vie professionnelle, les rationnels occupent souvent des fonctions comptables, administratives, financières, parfois dans la production. Il n’aime pas être surpris, ce qui provoquera un stress (tension) important, et le fera changer de mode de communication. Si vous connaissez cet autre mode, vous pouvez le prévoir, sinon ce sera la surprise et donc un risque. Il est plus efficace de le laisser savoir à l’avance ce dont vous aller parler, il pourra se préparer, et votre relation sera plus facile et efficace, à condition de respecter le code verbal.
L’affectif
Comme le nom l’indique, l’affectif privilégie l’affectivité dans ses rapports avec les autres. C’est-à-dire qu’il va évaluer votre relation en fonction de l’affection qu’il va sentir se développer et des émotions qu’il ressent quant à vous, votre projet, etc. L’affectif est généralement assez ouvert pour s’ouvrir aux autres styles de
communication, ce qui fait qu’il excelle dans la vente où le contact est essentiel. Il porte aux autres un intérêt véritable et s’efforce de le lui faire comprendre par exemple en lui posant des questions personnelles, en s’intéressant à sa famille. Il a besoin de visualiser le cadre de la relation, ou simplement de la « réchauffer » pour bien nouer le dialogue. De même, il vous parlera spontanément de lui, ou prendra des exemples personnels. Selon les cultures, l’affectif aura plus ou moins tendance à « toucher » l’épaule, le bras de son interlocuteur, pour avoir un contact plus étroit, mais il le fera plus que les autres modèles de communication. Son bureau parle pour lui ; il y a bien sûr sa famille, parfois ses amis, des images du passé, des diplômes, bref ce qui a marqué sa vie et ce qui constitue ses points de repère. En réunion, c’est malheureusement celui qui sera souvent le plus rapide à faire une digression, mais aussi le plus efficace à trouver les terrains d’entente pour résorber les conflits. Ce sont souvent des vendeurs, mais ensuite, ils évoluent dans la hiérarchie, et puisque la vente mène à tout, nous les retrouvons dans pratiquement toutes les fonctions de management, sauf peut-être en finance, et en industrie. L’affectif est en principe toujours disponible (son emploi du temps est donc surchargé), mais il ne faut pas le brusquer car il n’aurait pas le temps d’établir sa relation… Il lui faut donc du temps pour commencer, et pour conclure. Entre deux, les choses peuvent aller vite car il vous fera confiance, tant que vous resterez sur le mode affectif. Si vous ne respectez pas son mode de communication, il se méfiera, deviendra stressé (tendu) , et changera de mode de communication !
L’actif
C’est clair, il bouge et fait beaucoup bouger. Les questions se succèdent sans qu’il ait vraiment le temps d’en écouter les réponses ; en fait ce sont plutôt des directives que des questions, parce que, si vous êtes devant lui, c’est que vous faites déjà partie de ses projets ou que cela ne va pas tarder.
Sa perception de la vie se résume aux actions qu’il conduit, ou auxquelles il participe. Son emploi du temps est chargé, souvent fractionné, et laisse peu de temps à la réflexion. C’est également l’image qu’il donne. Ce qui frappe, c’est l’énergie dont il fait preuve. Ne lui demandez pas de vous laisser le temps de la réflexion ; il ne le comprendrait pas, et n’en a pas le temps ; au contraire entrez dans le jeu et dans l’action. C’est à ce prix qu’il communiquera avec vous et gardera un bon souvenir de votre « conversation »… La principale limite de l’actif est qu’il doit avoir la compétence de base pour être efficace, sinon sa quête d’action se réalise en pure perte, car il ne connaît pas le territoire sur lequel il dépense son énergie. Son bureau vous éclairera, si tant est qu’il en ait un ! En effet, le bureau typique de
l’actif est encombré, sans ordre apparent, mais il s’y retrouve, ou du moins il en donne l’impression. Certains actifs ont franchi la limite et n’ont plus de bureau personnel, ils se posent à proximité de leur secrétaire, ainsi qu’à côté de leurs collaborateurs. Pour eux ce qui compte c’est de piloter et de construire. C’est ainsi qu’ils mesurent leurs résultats, et éventuellement les vôtres. Ils travaillent dans les couloirs, dans la rue, au restaurant, partout où c’est le moment…
En réunion, l’actif ne respectera pas l’ordre du jour (sauf si c’est le sien…), mais sera le premier à s’impatienter et à se plaindre de l’absence de résultat. Pour cadrer un sujet, il suffit de lui donner la parole, mais de la lui retirer à temps avant que tout le monde ait fui. Les actifs sont souvent dans la production, ou à la direction générale, jouant le rôle d’un homme-orchestre. L’entreprise est fortement axée sur les résultats. Il n’aime pas perdre son temps, et son aspect opportuniste cache une certaine fidélité. Il n’agit pas sur un coup de tête, et sa confiance se mérite. En fait il est constamment sur le qui-vive et, dans sa tête, les dossiers sont prêts. Pour travailler avec lui il faut préparer ses cartouches et savoir les utiliser à bonne cadence. Il vaut mieux ajourner une réunion que de laisser des temps morts s’installer.
Le conceptuel
Son esprit s’intéresse d’abord aux conséquences des actes et des décisions à prendre pour les analyser et décider à court terme. Il est également l’intuitif.
Pour mener à bien son approche des choses et des gens, il a besoin de temps, et son rythme de travail est relativement plus lent que celui de ses collègues. En fait quand il approfondit un sujet, il va de plus en plus vite, car il capitalise sur ses analyses. C’est un des principaux indicateurs pour l’identifier. Quand vous échangez avec lui, vous remarquerez qu’il va spontanément prendre du recul et éventuellement vous proposer une approche plus globale, et plus long terme. Cette
démarche peut sembler pesante, mais elle est très puissante. Son bureau, s’il n’est pas nécessairement zen, est serein, calme. L’ordre n’y règne pas en maître, mais suffisamment pour pouvoir travailler. Il aime vous accueillir, et partager avec vous ses visions. La décoration est assez facilement …conceptuelle, ou composée d’objets de qualité, si possibles authentiques. C’est peut-être un fumeur de pipe. En réunion, il ne s’intéressera qu’à un ou deux points de l’ordre du jour, et encore ! En fait il enrichira la réunion d’éléments clés qui permettront de mieux situer une problématique, ou de réviser une allocation de ressources, etc.
Les conceptuels se trouvent dans la recherche, le planning, la stratégie, et donc également à la tête des organisations, qui invariablement intègrent le long terme dans leurs valeurs. Il n’aime pas être confronté à une accumulation de détails et de décisions à court terme. C’est le meilleur moyen de le stresser (mettre sous tension) et de le faire changer de mode de communication, mais souvent en pure perte, puisque, dès le calme revenu, il va prendre le temps de revoir ses décisions par rapport au long terme. Éviter par exemple de l’associer étroitement à une cellule de crise où il n’aurait pas sa place, mais lui soumettre les décisions pour prendre du recul.

Classification 2 : le directif, l'enthousiaste, le coopératif et le structuré

Directif (Tâche + Agir sur) : Je décide, je tranche, je donne les directions ou directives, je confronte, les résultats peuvent être plus importants que la relation
Enthousiaste (Relation + Agir sur) : Je communique beaucoup, je cherche à convaincre, je fais part de mon ressenti, la convivialité peut prendre le pas sur les convenances
Coopératif (Relation + Agir avec) : J'écoute les autres, j'invite chacun à s'exprimer, je cherche à concilier les points de vue, le consensus peut primer sur l'urgence
Structuré (Tâche + Agir avec) : Je demande des informations, je rappelle les faits et les données, j'indique précisément ce que je comprends et ce que j'attends, la qualité peut être plus importante que la finalité.

Chacun d'entre nous va avoir de 1 à 3 styles de communication favoris, d'où les risques d'incompréhension voir de confrontation :
•le directif décide alors que le collaboratif aurait bien donné la parole à tout le monde
•l'enthousiaste a fait adhérer toute l'équipe alors que le structuré n'a pas obtenu tous les détails qu'il souhaite.

Classification 3 : l'homme et la femme

Les styles de communication des hommes
Comportement Motivation possible :
Remettre en question et présenter un autre point de vue (être l’avocat de diable). Le désir de recueillir plus d’information ou de mieux comprendre la nature du problème.
Utiliser un langage direct, concis et autoritaire pour communiquer les décisions. Le désir de communiquer efficacement, de renforcer la hiérarchie fonctionnelle et de montrer son sens des responsabilités par son esprit de décision.
S’asseoir en angle et éviter le contact visuel. Le désir de ne pas avoir l’air agressif ou défiant, mais de ne pas montrer un manque d’intérêt.
Envahir l’espace de l’autre, parler davantage et sur un ton plus autoritaire, interrompre, faire de l’esprit pour contrôler l’auditoire. Possiblement le désir d’impressionner, d’établir le respect et son leadership.
Parler pour trouver des solutions, établir un plan d’action et se montrer impatient en évacuant sa frustration. Le désir de voir des résultats concrets et d’atteindre les objectifs fixés.
Les styles de communication des femmes
Comportement Motivation possible
Exprimer des choses personnelles et son sentiment de vulnérabilité, complimenter les autres. Le désir d’établir la relation, la confiance et la cohésion.
S’interrompre et inviter les autres à parler tour de rôle. Le désir d’établir le respect et l’équilibre en structurant la communication.
S’excuser ou demander de l’aide. Possiblement le désir de montrer sa force et sa confiance, selon le contexte.
Exprimer ses pensées et ses sentiments à propos du sujet abordé. Le désir d’établir une compréhension et un soutien mutuels.
Poser des questions, sans utiliser un langage autoritaire lorsqu’on est en position d’autorité. Poser des questions rhétoriques pour guider et influencer. Le désir de créer un climat de respect et de collaboration, de ne pas insister sur les relations hiérarchiques et de renforcer la motivation et le travail d’équipe intrinsèques.

Classification 4 : le style homme, le style action, le style idée, le style méthode

LE STYLE « HOMMES »
Les orientés "hommes" sont :
- Compréhensifs
- Perspicaces
- Sensibles
- Émotifs
- Subjectifs
Ils parlent souvent de :
Gens, besoins, épanouissement, motivation, sensibilité, travail d’équipe, prise de conscience, communication, coopération, croyances, sentiments, valeurs, esprit d’équipe, aspirations, compréhension, relations…

Pour bien communiquer avec eux, il faut prendre le temps de bavarder et ne pas se lancer directement dans le sujet à traiter. Il faut souligner les liens entre la proposition et les personnes intéressées. Il faut montrer les résultats qu’a obtenu le sujet dans le passé. Il faut souligner l’appui qu’a reçu le sujet par des personnes respectées. Il faut communiquer par écrit avec un style familier.

LE STYLE « ACTION »
Les orientés "action" sont :
- Pragmatiques
- Décidés
- Énergiques
- Perfectionnistes
- Efficaces
Ils parlent souvent de :
Résultats, objectifs, responsabilité, rétroaction, performance (seika), expérience, productivité, défis, efficacité, réalisations, progrès, changement, décisions...

Pour bien communiquer avec eux, il faut mettre l’accent sur les résultats et commencer chaque réunion par l’énoncé des conclusions. Il faut aller droit au but et présenter directement la meilleure hypothèse sans énoncer toutes les hypothèses possibles. Il faut être bref, utiliser des moyens visuels et mettre l’accent sur le caractère pratique des idées énoncées.

LE STYLE « IDÉES »
Les orientés "idées" sont :
- Imaginatifs
- Charismatiques
- Difficiles à comprendre
- Égocentriques
- Créateurs
- Pleins d’idées
- Provocants
Ils parlent souvent de :
Concepts, interdépendance, innovations, créativité, nouveaux moyens, occasions, possibilités, nouvelles méthodes, grands dessins, grandes questions, problèmes, perspectives, solutions de rechange, nouveautés…

Pour bien communiquer avec eux, il faut consacrer beaucoup de temps à la discussion et ne pas s’impatienter si l’interlocuteur développe beaucoup ses idées. Il faut conceptualiser le sujet et souligner son caractère unique. Il faut aussi mettre l’accent sur l’incidence sur l’avenir. Lors de l’exposition des propositions, il faut aller du général vers le détail.

LE STYLE « MÉTHODES »
Les orientés "méthodes" sont :
- Logiques
- Peu émotifs
- Patients
- Prudents
- Froids
Ils parlent souvent de :
Faits, mise à l’épreuve, procédés, planification, analyse, contrôle, essais, preuves, détails, précisions...

Pour bien communique avec eux, il faut être précis en exposant les faits. Il faut organiser ses présentations de manière logique et méthodique par une numérotation par exemple. Il faut utiliser des supports visuels ordonnés. Il faut prévoir des options et en indiquer les avantages et les inconvénients. Enfin, il ne faut pas bousculer ce type de personne.

Classification 5 : le promouvant, le facilitant, le contrôlant et l'analysant

Le style Expressif est appelé Promouvant (S’impose -Expansif) Énergique, enthousiasme, chaleureux, créatif, intuitif, affirmatif, souvent en retard, tourné vers le futur, trop pris, impulsif, optimiste, stimulant, débordé, actif, joueur. Un promouvant aura donc du mal à comprendre et donc à travailler avec un analysant en qui il verra souvent un coupeur de cheveux en quatre. Les besoins fondamentaux : la reconnaissance personnelle, être reconnu et félicité. Situations génératrices de stress (tension) : situations qui stagnent, sans enjeu, sans challenge.

Le promouvant (le chef d’entreprise) :
Valoriser ses actions, le féliciter. Ces individus de style expressif sont « assertifs affirmant » et ont tendance à exprimer leurs émotions et à s’affirmer. Ils s’expriment en général plus fréquemment, parlent plus vite et avec plus d’intonation dans la voix, et leur conversation sont souvent très animés. Les personnes de style expressif ont tendance à se concentrer sur les questions personnelles et font fréquemment usage d’anecdotes pour faire porter leurs arguments. Elles sont souvent d’une grande spontanéité et peuvent apporter créativité et énergie. Cependant, elles ont parfois du mal à donner suite à ces idées.

Le style Conciliant est appelé Facilitant (A l’écoute – Expansif) Amical, coopératif, sensible, sympathique, confiant, accueillant, détendu, sociable, prudent, dit souvent oui, écoute, attentif, conciliant, tourné vers le passé, présent, futur, a du temps pour les autres. En revanche, le facilitant trouvera souvent que le contrôlant est rigide et dénué de sentiments. Les besoins fondamentaux : l’appartenance, être aimé, accepté. Situations génératrices de stress (tension) : situations où les gens qui l’entourent l’ignorent, le désavouent.

Le facilitant :
L’écouter, le faire participer, solliciter son aide Ces individus sont « assertifs demandant » et ont tendance à exprimer leurs émotions. Ils parlent plus lentement, de manière plus réfléchie et avec plus d’intonation dans la voix, et sont très sensibles aux besoins et aux réactions des autres. Les personnes de style facilitant sont celles qui accordent le plus d’importance aux relations personnelles et sont contrariées s’il y a discorde sur leur lieu de travail. Elles peuvent perdre leur sens pratique lorsqu’elles sont accablées par des problèmes affectifs ou relationnels.

Le style Directif est appelé Contrôlant (S’impose – Réservé)(Déterminé / résolu, soucieux de l’objectif, efficace, impatient, prouve, orienté vers le concret et le bénéfice, intéressé aux résultats, affairé, pressé, direct, assuré, exigeant, démontre, agit, tourné vers le présent) Un contrôlant connaîtra le même genre de difficultés avec un facilitant qu’il jugera trop mou et consensuel. Les besoins fondamentaux : l’autoréalisation, prendre des décisions, atteindre ses objectifs. Situations génératrices de stress (tension) : situation où il n’a pas d’emprise, où quelqu’un décide à sa place.

Le contrôlant (le directeur général, le militaire, etc.) : lui confier des responsabilités, lui fixer des objectifs. Ces individus de style directeur sont « assertifs affirmant » et ont tendance à contrôler leurs émotions mais aussi à s’exprimer plus souvent. Ils parlent vite et sont très directs. Bien que leur voix ne varie pas beaucoup par son intonation, ils parlent parfois plus fort que les personnes des autres styles. Les personnes de style directeur ont tendance à se concentrer sur les résultats et peuvent s’impatienter lorsque d’autres prennent trop de temps pour arriver à une décision ou sont trop émotifs.

Le style Analytique est appelé Analysant (À l’écoute – Réservé) Patient, froid, parle peu, précis, méthodique, exact, spécialisé, pense / écrit, ponctuel, tourné vers le passé, consciencieux, ne prend pas de risque, posé, pondéré, réfléchi, analyse, organisé. À l’opposé, l’analysant estimera que le promouvant est brouillon, emporté et peu fiable. Les besoins fondamentaux : la sécurité, acquérir du savoir. Situations génératrices de stress (de tension) : situations où il faut agir vite, situations de « quitte ou double ».

L’analysant (l’expert, le chercheur, etc.) : le sécuriser, le complimenter sur son travail. Ces individus de style analytique sont «assertifs demandant» et ont tendance à contrôler leurs émotions. Ils sont réservés en situation de communication. Leur voix est souvent discrète, parfois monotone. Ils se concentrent sur les tâches à accomplir. Ils accordent beaucoup d’intérêt et une grande importance aux faits et aux données. Les personnes de style analytique sont réservées dans leur manière de s’exprimer, parlant plus lentement et moins souvent que les autres. Leur langage corporel est plus contenu et réservé. Ils risquent de se réfugier dans le silence lorsqu’ils sont confrontés à des personnes trop agressives ou émotives.

Voir aussi Les styles d'appentissage et les types d'intelligence.